| Commentaire du 24/11/10 à 16:00 par Jean Marc |
 | Quelle belle affiche Sophie de St Amour Philippe Gautreau n'est ce pas
Et pourquoi ne pas aller jusqu'au bout du désir de changement, oui, pourquoi pas l'équipe: Philippe-Sophie?
Je plaisante vous vous en doutez bien, mais qui vous dit que...
Non ? Vous êtes sûrs?
On avance parfois dans les milieux mal-pensants, que ce second, ce collaborateur, est en fait proposé aux citoyens sachant pertinemment qu'il ne fera en réalité que jouer les utilités? C'est absurde ! C'est une caricature de la politique, tout le monde en conviendra.
ça clabaude,ça cancane,ça potine, chez les méchantes langues.
Il est assuré en revanche sur un autre fil qu’il s’agit d’un travail d’équipe.
Merci grand architecte.
Bonne chance donc à Monsieur Gautreau qui aura fort à faire face aux barons de la politique.
Comme vous avez raison A.B
Surtout ceux qui espèrent , espèrent, espèrent toujours et s'enlisent dans leurs litanies archaïques, entraînant avec eux les fidèles.
La politique est un apostolat dans toute l’acception du terme,un sacerdoce,ce n'est pas un palliatif professionnel. Dit-on!
A méditer..
Petite remarque en passant :
Comment ne pas trouver scandaleux, le type de scrutin qui accorde 75% des sièges à l’équipe gagnante avec seulement 51% des voix ? 50% d’office + 50% du reste.
Ça pourrait friser la dictature.
On se demande même si une opposition a encore son rôle à jouer en séance plénière d'un CM, puisque les votes ne sont pas à bulletin secret.
Les jeux sont trop fréquemment faits avant l'ouverture de cette séance, au cours du dernier briefing du chef ou de ses principaux affidés.A chacun ensuite de se faire une religion. L'unanimité permanente sur tous les sujets m'a toujours laissé pantois.
Commentaire n° 1230 | |
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| Commentaire du 23/11/10 à 19:18 par Orchidée |
| | Quelle belle affiche Sophie de St Amour Philippe Gautreau n'est ce pas ?
Jeunesse, vivacité, intelligence , sagesse, convictions et valeurs
Soutient à tous deux
Commentaire n° 1227 | |
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| Commentaire du 23/11/10 à 16:55 par A.B. |
| | Monsieur Gautreau n'a sans doute pas d'ambition politique particulière, ce qui l'honore. Rappelez-vous Mr le Maire à ses débuts n'affichait pas ouvertement son appartenance à un parti. Lorsque l'ambition reste locale, on se fiche un peu de cet appartenance, mais une fois le 'pouvoir' obtenu et pour se faire mousser, ou tout simplement pour penser exister auprès du corps politique, l'indépendance devient impossible. Il faut alors s'encarter comme vous le dites, pas forcément dans le parti correspondant à ses convictions, mais dans celui où on estime faire la plus belle carrière.
Ceux qui sont les plus respectés localement ne sont pas nécessairement ceux qui ont les meilleurs appuis au niveau national.
Bonne chance donc à Monsieur Gautreau qui aura fort à faire face aux barons de la politique.
Et je lui conseillerai de ne se consacrer qu'à cette tâche au lieu de procéder comme les nombreux cumulards qui ne font les choses qu'à moitié. Et encore, dans le meilleur des cas.
Commentaire n° 1226 | |
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| Commentaire du 23/11/10 à 15:55 par Jean Marc |
| | Un agriculteur donc un réel homme... de terrain.
Avec lui le PS ne restera pas les bras croisés.
Pardon, pardon philippe, mais comment pouvais passer à côté,c'était trop tentant, un cadeau,une provocation même...oui, pardon mille fois.
Membre d'aucun parti politique
Donc pas de dogme,pas de langue de bois, du bon sens et encore du bon sens. Voilà qui apparaît fort plaisant, enfin.
Vous avez toute ma sympathie monsieur philippe Gautreau.
Des amis vont vous suivre, et vous bénéficiez déjà j'en suis certain, d'un potentiel soutien si vous maintenez et affirmez cette indépendance c.a.d votre entière liberté de penser.De nos jours, c'est presque utopique que de l'imaginer.
Laissez parler les coryphées et gardez votre sillon.On ne peut être d'accord sur tout et personne n'est obligé de défendre une idée qu'il ne partage pas.
C'est tellement difficile de n'être encarté nulle part et de se faire néanmoins entendre.
C'est le prix de la liberté.
Petite anecdote en passant: En 1793, il ne fallait pas être bleu, il ne fallait pas être blanc, il fallait être transparent pour ne pas passer sa tête à la fenêtre de la Louise.
Commentaire n° 1225 | |
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